BIOGRAPHIE

L’enfance

D’origine allemande, Dobrin est né en Israël en février 1943, en pleine seconde guerre mondiale. Il vécut une heureuse mais difficile enfance liée au contexte de la guerre.

Peu avant ses 18 ans, Dan s’engagea dans l’armée. Il avait le commandement de plusieurs chars et monta en grade par la suite. Suite à des blessures, il fut hospitalisé puis, se rendit en Angleterre pour suivre des études d’architecture.

Il revint à son pays natal en tant qu’architecte pour le ministère de la défense puis enseigna l’architecture à l’université de Tel Aviv.

Il fut rappelé durant les guerres qui ont suivi (entre 70 et 73) et  fut malheureusement à nouveau blessé puis hospitalisé.

Durant cette hospitalisation, Dobrin réalisait des croquis des blessés autour de lui. Arriva une dame, la Baronne N. De Rotschild qui passait d’un blessé a l’autre pour les visiter et leur apporter du réconfort. Elle jeta un coup d’œil aux croquis réalisés par Dobrin et lui dit « ta place n’est pas ici, tu viendras avec moi à Paris ».

C’est ce qui arriva, Dobrin se rendit à Paris quelques mois plus tard ou l’on organisa pour lui un fabuleux vernissage, sans qu’il n’ait un seul dessin ou même une peinture à montrer. Elle le rassura en lui disant : « tu recevras des commandes et tu feras des portraits ».

En effet, il y reçut pas moins de 80 commandes en une soirée.

Sa vie d’artiste commençait.

Ses débuts…

Dobrin a commencé à exercer son talent en « croquant » les visages de ses proches. La Famille ROTHSCHILD, séduite par son don de portraitiste, lui confia pour mission de réaliser les portraits de bon nombre des ROTHSCHILD à travers le monde. Par la suite, il a effectué les portraits de personnalités prestigieuses de la noblesse française, russe et bien d’autres.

Installé à Paris, il choisi d’enrichir ses sources d’inspiration,  de paysages et de personnages caractéristiques de la vie quotidienne parisienne.

Ses dessins et ses toiles portent sans conteste le sceau du talent. Sa peinture est passionnelle par les couleurs, et ses dessins sont le fruit d’une pratique raffinée. Les thèmes sont souvent à caractère spirituel même si l’on peut ressentir dans son art une envie de s’élancer vers d’autres horizons.

Dobrin concilie avec habileté et maestria une conception moderne et une conception classique de la peinture.

Il a exposé dans de nombreux pays dont l’Allemagne, Belgique, Suisse, Angleterre, USA et Japon. Au travers ses expositions il pût exposer avec les plus grands (tels que Marc Chagall etc…).

Dobrin a commencé à exercer son talent en « croquant » les visages de ses proches. La Famille ROTHSCHILD, séduite par son don de portraitiste, lui confia pour mission de réaliser les portraits de bon nombre des ROTHSCHILD à travers le monde. Par la suite, il a effectué les portraits de personnalités prestigieuses de la noblesse française, russe et bien d’autres.

Installé à Paris, il choisi d’enrichir ses sources d’inspiration,  de paysages et de personnages caractéristiques de la vie quotidienne parisienne.

Ses dessins et ses toiles portent sans conteste le sceau du talent. Sa peinture est passionnelle par les couleurs, et ses dessins sont le fruit d’une pratique raffinée. Les thèmes sont souvent à caractère spirituel même si l’on peut ressentir dans son art une envie de s’élancer vers d’autres horizons.

Dobrin concilie avec habileté et maestria une conception moderne et une conception classique de la peinture.

Il a exposé dans de nombreux pays dont l’Allemagne, Belgique, Suisse, Angleterre, USA et Japon. Au travers ses expositions il pût exposer avec les plus grands (tels que Marc Chagall etc…).

Le projet d’une vie

« La première fois que j’ai vu la statue de Moise réalisée par Michel-Ange fut lorsque j’étais un petit garçon.  Je fus intensément impressionné par l’incroyable travail et en particulier le puissant corps. »

C’est après plusieurs années, l’admirant encore et encore, que Dan a prêté attention aux 2 cornes dépassant des cheveux de Moise. Leur présence le surpris et l’intrigua durant des années.

Seulement plusieurs années après, il eu la réponse à cela : le mot « Keren » en hébreu à un double sens : corne et rayon de lumière.

C’est à partir de ce moment-là que j’ai vu la Bible comme une œuvre d’art.

Trente années plus tard, après avoir peint quelques peintures bibliques et religieuses, il commençait à se lancer dans la réalisation de son ultime projet : « La Bible Illustrée ».